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25 février 2017
Savoir prendre ses responsabilités
Retrouvez la réaction de Bruno Millienne, conseiller régional, Président du Mouvement Démocrate 78 quelques heures après la déclaration de non candidature à l'élection présidentielle de François Bayrou à la presse le 22 Février.
La réaction de Bruno Millienne à TV Fil 78 est ICI (après 1mn)
Il résume en quelques mots l'esprit de la déclaration du Président du MoDem
Un homme d'Etat doit prendre ses responsabilités: la situation politique de la France est grave : Jamais, dans les cinquante dernières années, la démocratie en France n’a connu une situation aussi décomposée, dit-il. Cette situation nourrit le pire des risques : une flambée de l’extrême-droite, qui fait planer la menace d’un danger majeur et immédiat pour notre pays et pour l’Europe.
Cette offre d'alliance à Emmanuel Macron n'est aucunement un ralliement; chacun garde son indépendance, "ses enracinements différents", tout en partageant des objectifs communs. Etre ensemble, c'est utiliser les intelligences de tout le monde, c'est être plus fort.
A l'heure où "les partis marchent sur la tête", notre projet qui est le notre depuis la fondation du MoDem en 2007 trouve ici toute sa cohérence: depuis dix ans, nous disons que le face à face droite gauche n'a plus de sens et interdit les réformes dont notre pays a besoin. C'est une véritable alternance, que nous demandons depuis dix ans, un vrai changement des pratiques et des orientations et non pas un recyclage des pratiques antérieures.
Cette offre d'alliance est assortie d'exigences qui sont toutes d'intérêt général et qui sont aussi l'essence même de notre projet depuis la création du MoDem :
-L'exigence d'une loi de moralisation de la vie publique, en particulier de lutte contre les conflits d’intérêt... Je ne cèderai rien sur la séparation nécessaire de la politique et de l’argent dit François Bayrou.
-L'exigence d'arrêter de réduire sans cesse la rémunération du travail, indépendant ou salarié... La politique d’unité qu’il faut conduire fait toute sa place à ceux qui réussissent, mais elle doit protéger et entraîner, et rassurer ceux qui sont maintenus au bas de l’échelle et leur offrir des chances de s’en sortir.
-L'exigence d'une part de proportionnelle aux élections au Parlement : pour notre démocratie, que le pluralisme qui est la véritable expression du pays soit enfin respecté au sein de notre vie publique.
C'est donc la nécessité du rassemblement qui a été à la base de ce contrat, une pratique inédite dans notre pays plus habitué à voir des arrangements et des marchandages entre appareils politiques.
21:44 Publié dans Avenir de notre territoire | Lien permanent | Commentaires (0)
16 février 2017
A propos de la fiscalité locale à Saint-Quentin (suite)
La note du 4 février (ICI) vous informait d'un risque que courait notre agglomération: celui de voir nos finances locales délestées de 13 à 16 Millions d'Euros par an.
La cause en était la fin de la pondération fiscale dont bénéficiaient les intercommunalités issues de Syndicats d'agglomération nouvelle, SAN), ce qui est le cas de Saint-Quentin.
Les élus se sont mobilisés et la presse locale nous apprend que l'Assemblée nationale a "enterré ce nouveau calcul du Fonds National de Péréquation des Ressources Intercommunales et Communales (FPIC)".
Il ne faut cependant pas crier victoire de suite car le Sénat doit maintenant voter positivement ce texte pour qu'il soit totalement adopté et donc le risque écarté.
A suivre donc, même si les élus semblent aujourd'hui pousser un "Ouf" de soulagement.
Source: Article des Nouvelles du 15 février, ci-dessus
18:46 Publié dans Avenir de notre territoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : saint quentin-en-yvelines, guyancourt en mouvement
04 février 2017
A propos de la fiscalité locale à Saint Quentin
Voilà qui risque de nous coûter cher !
La presse locale du 2 février (Le Parisien) communique sur l'injustice fiscale dénoncée par les élus de l'agglomération dans une conférence de presse : "catastrophe"," injustice" "coup bas fiscal" !
Ces termes dénoncent un amendement voté à l'assemblée nationale qui a changé les règles de calcul du "Fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales ", ce qui coûterait 13 à 16 Millions d'Euros par an à l'agglomération.
Ceci n'est pas nouveau car le risque avait été écarté en juillet 2016 après l'intervention de Benoît Hamon, Député et alors élu communautaire.
A suivre !
L'article du parisien est ICI
10:02 Publié dans Avenir de notre territoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : guyancourt en mouvement, fiscalité, saint-quentin en yvelines