10 novembre 2009
Communiqué de presse
OIN, Grand Paris, .. et toujours pas la fin !
Plusieurs articles vous ont informés de notre réflexion commune avec les adhérents du Mouvement Démocrate de l'Essonne (voir notes du 30 octobre et du 9 Novembre en particulier, en cliquant ici). Nous soutenons la pétition initiée par des associations qui se penchent aussi sur ces dossiers depuis le début et partagent les mêmes préoccupations que nous. Voir la pétition ici
Les mouvements Départementaux de l'Essonne et des Yvelines concernés par ces projets, que ce soit Grand Paris, OIN, cluster de Saclay,
ont signé conjointement le communiqué de presse que vous trouverez ci-dessous :
ESSONNE YVELINES
Coordination Modem Essonne-Yvelines du Plateau de Saclay
Communiqué de presse du 1er novembre 2009
Aménagement du Plateau de Saclay - Christian Blanc persiste dans son déni de démocratie
Le projet de loi relatif au Grand Paris et à l’aménagement du Plateau de Saclay a été présenté en conseil des ministres le 7 octobre dernier ; il
sera présenté au parlement fin novembre.
Si nous accueillons favorablement la perspective de développer l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation, nous regrettons que les
méthodes employées desservent ce projet. Car force est de constater que Christian Blanc persiste dans son déni de démocratie.
Christian Blanc refuse la concertation avec les collectivités. Tout au long de la préparation du projet de loi, les collectivités n’ont
quasiment pas été consultées. Même le premier Ministre considère que les les élus locaux ne sont pas assez entendus pour la définition du
tracé du réseau de transport. Il a dû céder devant l’entêtement de Christian Blanc soutenu par le président de la République.
Christian Blanc refuse la concertation avec les citoyens et les associations. Les riverains, le monde de l’enseignement et de la
recherche, les agriculteurs, les entreprises, tous ceux qui vivent et travaillent sur le Plateau de Saclay, manquent cruellement d’informations
précises sur les projets en cours. Par ailleurs, au lieu d’écouter et de favoriser la concertation, Christian Blanc souhaite réduire les délais
légaux de consultation au nom de « l’efficacité ». Pour cette raison, la Commission Nationale du Débat Public, autorité indépendante, a
vivement critiqué le projet de loi.
Christian Blanc refuse d’écouter les experts. Dix équipes d’architectes et d’urbanistes ont été sollicitées pour réfléchir à l’aménagement
du Grand Paris, en prenant en compte notamment les objectifs de réduction de gaz à effet de serre. Beaucoup de très belles idées ont été
proposées. Malheureusement, le tracé du métro automatique avait déjà été décidé par Christian Blanc avant même la présentation des
travaux.
Le projet du gouvernement organise la mise sous tutelle de la démocratie locale. Le projet crée notamment la Société du Grand Paris
en charge de la construction du réseau de métro automatique et l’Etablissement Public Paris-Saclay en charge de l’aménagement du plateau.
Autour des gares et dans le périmètre de l’OIN, les élus sont dessaisis de leurs pouvoirs en matière d’urbanisme et d’aménagement au profit
d’organismes contrôlés par l’Etat.
Le projet manque de financement crédible et de transparence. Beaucoup d’interrogations de fond subsistent sur le financement des
opérations d’aménagement, sur le métro automatique, sur la représentation des collectivités dans les établissements publics, sur le périmètre
précis de l’OIN, sur le calendrier, sur la préservation des terres agricoles et forestières.
La coordination MoDem Essonne – Yvelines du Plateau de Saclay condamne cette pratique politique d’un autre temps où l’Etat
considère qu’il est le seul dépositaire, omniscient, de l’intérêt général. Les citoyens, les associations, les élus de tous bords politiques doivent
être écoutés afin d’aboutir à des solutions à la fois légitimes et respectueuses de tous.
Nous demandons aux parlementaires d’amender le projet de loi afin de :
-
Garantir la transparence et une concertation approfondie avec les citoyens, les associations, les élus, sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public
-
Respecter la légitimité des élus en intégrant les représentants des collectivités locales dans les instances de décision au même niveau que l’Etat
-
Proposer des infrastructures raisonnables au vu des capacités de financement
Contacts:
Evelyne Duquennoy evelyne.duquennoy@club-internet.fr tel: 06 70 34 73 89
Flavien Bazenet flavien.bazenet@pourjouy.fr tel: 06 34 6305 41
Dimitri Tchoreloff tchoreloff.d@free.fr tel: 06 07 82 17 12
et l'équipe GGC en charge du dossier qui a participé à la rédaction du communiqué de presse.
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07 novembre 2009
Innover pour éduquer
TNI, TICE ... Qu'est-ce donc ?
Derrière ces initiales se cachent des outils que nos enfants connaissent aussi bien, mieux que nous !
TNI: Tableaux Numériques Interactifs, TICE, Techniques de l'Information et de la Communication pour l'Éducation.. mais quel rapport avec l'école ?
Ordinateurs, jeux vidéo, baladeurs, téléphones portables : voilà des technologies que les enfants maîtrisent très vite, qui font partie de leur vie quotidienne, mais ne font pas toujours bon ménage avec l'école et ses contraintes; tous les parents sont confrontés à des discussions, beaucoup de concessions parfois, surtout au moment des devoirs ! Et pourtant, ces outils peuvent être un moyen d'éduquer et pourquoi pas de faire aimer l'école? Ils y ont maintenant leur place, au même titre que ceux dits « traditionnels »..
Beaucoup d'écoles entrent peu à peu dans l'ère du numérique, y compris Guyancourt. Entre la moyenne nationale d'équipement en tableaux numériques interactifs ( un peu plus de 2%) et la ville d'Élancourt, notre voisine équipée à 100% en primaire, il y a une marge importante de progrès à faire, y compris pour notre commune: (voir ici)
Quels sont les avantages des tableaux numériques interactifs et de façon plus générale des technologies de l'information et de la communication pour l'éducation ? Outre la participation plus active des enfants donc une prise de parole en public et l'intégration dans un groupe facilitée, l'enjeu est fondamental pour l'apprentissage des langues vivantes par visioconférence.
L'utilisation des tableaux interactifs a toute sa place dans « l'aide aux devoirs » dans les classes non homogènes, réputées « difficiles ». Une heure dédiée à cette aide est très utile, plus adaptée aussi à ces élèves qui ne trouvent pas forcément chez eux un appui scolaire suffisant. Ces supports que les jeunes maîtrisent si facilement permettent d'aborder certains points du programme d'une façon différente, plus attractive, en aidant l'élève à prendre du recul par rapport à son propre travail, en adoptant en cas de difficulté une pédagogie de détour ou tout simplement en renforçant par des exemples visuels interactifs un concept un peu abstrait. Cet enseignement permet aussi aux élèves d'acquérir des compétences en lien avec le brevet informatique et internet. Cependant, il n'est pas question de minimiser le rôle de l'écrit qui reste essentiel ni celui du professeur, au cœur de toute éducation car le lien humain professeur-élève est irremplaçable.
Même si le matériel nécessaire à ces TICE est simple : un tableau-écran, relié à un ordinateur et à un vidéoprojecteur, le financement est à envisager. Outre l'achat du matériel, il faut aussi en prévoir la maintenance. La région francilienne a prévu 300 tableaux numériques pour équiper les lycées, dont 21 pour les Yvelines, mais l'équipement des écoles reste de la compétence des communes.
Un partenariat public-privé, malgré ses limites est envisageable. Installer des tableaux interactifs est aussi créateur d'emploi ! Une start up saint Quentinoise qui a déjà assuré l'équipement d'une des communes de la Communauté d'Agglomération, est déjà en contact avec les écoles de cette dernière.
Faire de la France une grande puissance numérique, et à notre échelon, faire de saint Quentin un modèle de ville numérique (journal de St Quentin, n°53) commence à l'école : tout ceci doit s'intégrer dans un projet éducatif global, la mission d'éducation est une responsabilité partagée !.
PS : Tous les passages en italiques sont extraits de l'article de Julien Oechsli, conseiller municipal, à lire dans le Guyancourt Magazine n°379 du 5 Novembre
Viviane
21:37 Publié dans Avenir de notre territoire, Notre boîte à idées, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0)
30 octobre 2009
OIN, Grand Paris... suite .. et toujours pas fin !
Le projet de loi relatif au Grand Paris, donc avec la partie relative à l'OIN- Plateau de Saclay, a été présenté au Conseil des ministres au début du mois d'Octobre, avant sa présentation au Parlement le mois prochain. Comme nous l'avons dit dans des articles précédents, que ce soit l'OIN, l'aménagement du Plateau de Saclay, le SDRIF, (Schéma Directeur de la Région Ile de France), tous ces plans sont imbriqués les uns dans les autres, et leurs objectifs seront à prendre en compte dans notre PLU, Plan Local d'Urbanisme, actuellement en cours d'élaboration à Guyancourt.
Nous sommes bien sûr favorables au développement de l'enseignement supérieur, à l'amélioration et à la construction d'un réseau de transports performant, mais nous ne pouvons pas accepter les méthodes employées par le Secrétaire d'État au développement de la région-capitale. Nous constatons qu'aucune véritable concertation n'a lieu entre lui, les élus qui sont ainsi dessaisis de leur pouvoir d'urbanisme, les associations et les citoyens, bien mal informés, non informés, alors que ces projets les concernent prioritairement et engagent les générations futures. Rien de clair n'est indiqué quant au financement de ces plans du gouvernement.
Nous avons donc décidé de soutenir et de signer la pétition actuellement en ligne sur le site. Nous vous invitons à la signer et la faire signer à cette adresse "Plateau de Saclay, oui à l'avenir, non à ce projet imposé" .
Nous vous remercions d'avance pour votre engagement.
Si l'adresse n'apparaît pas de suite, voici le lien : http://www.mesopinions.com/Plateau-de-Saclay--oui-a-l-avenir--non-a-ce-projet-impose-petition-petitions-e98b1f4b0279d17540b825454f4eb696.html
Le groupe GGC en charge de ce dossier
17:07 Publié dans Avenir de notre territoire, Notre boîte à idées, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0)
09 octobre 2009
L'OIN, suite .. mais pas fin !

OIN, GRAND PARIS, .. des projets, mais pas une vraie concertation
Le Guyancourt Magazine n°377, du 8 Octobre, nous informe que les élus s'apprêtent à élaborer le Projet d'Aménagement et de Développement Durable ( PADD) qui dessinera l'avenir de la ville..
Comme le dit aussi cet article ( P.15), il s'agit d'un puzzle , mais aussi, et c'est certainement le plus difficile à atteindre, un défi qui ne peut toutefois s'envisager sans prendre en compte les interactions existantes entre la Ville..le schéma directeur de l'Ile de France (SDRIDF), l'Opération d'Intérêt National (OIN), du Plateau de Saclay, .. des projets autour du Grand Paris.

(source : Guyancourt magazine n° 377)
L'article précise aussi, en conclusion, que le PADD est censé être conforme à l'OIN, or, les élus locaux n'en connaissent pas toujours les objectifs précis.
(source : idem)
Cet article suscite deux réflexions au sein de notre équipe :
Le PADD, qu'est-ce ?
Le Projet d'Aménagement et de Développement Durable (PADD) définit les orientations générales d'aménagement et d'urbanisme retenues pour l'ensemble d'une commune (Article L.123-1, 2° alinéa du Code de l'Urbanisme).
Constitutif du dossier du Plan local d’Urbanisme (PLU) , le PADD définit ces grandes orientations, notamment en vue de favoriser le renouvellement urbain, de préserver l’environnement et de favoriser la qualité urbaine et architecturale.
Concrètement, le PADD introduit dans les documents locaux d’urbanisme une plus grande réflexion sur l’avenir à moyen et long terme et concerne différents domaines : le développement ou la préservation des centres-villes, la restructuration ou la réhabilitation de quartiers, le traitement des rues et des espaces publics, la sauvegarde de la diversité commerciale des quartiers, l’aménagement des entrées de ville et la préservation des paysages. Ce sont donc des enjeux qui concernent notre vie quotidienne ( voir l'article et notre position sur la diversité commerciale de Guyancourt)
L'OIN aujourd'hui ?
Depuis le lancement de cette Opération, qui, rappelons-le, concerne notre commune, le groupe de travail GGC ( Guyancourt Générations Citoyennes) qui suit ce dossier vous informe de nos travaux. Des notes sur ce sujet sont déjà parues sur ce blog : ( voir la catégorie Avenir de notre territoire.). Il s'agit en particulier de la note sur l'OIN, citée à propos de l'article de Julien Oechsli ( Guyancourt magazine n° 373), qui demandait une gouvernance impliquant les habitants et les associations, celle intitulée OIN, PLU, la vigilance s'impose, attirant l'attention des franciliens sur les difficultés soulevées par ce projet : aucun projet, si ambitieux soit-il ne peut-être imposé sans consensus, concluait cette note, ce qui est encore vrai aujourd'hui !
Nous indiquions aussi vouloir vous tenir au courant de l'avancée de notre réflexion commune avec des habitants des départements voisins concernés, comme nous, par l'OIN et par le projet de cluster Satory-La Minière, partie du projet du Grand Paris, débat d'actualité puisque ce thème vient d'être présenté au Conseil des Ministres du Mercredi 7 Octobre. (Projet amendé par François FILLON sans l'avis de Christian Blanc).
Dans ce cadre du Grand Paris, notre secteur est concerné par le projet de ligne ferroviaire automatique circulaire, passant par MASSY / SACLAY / VERSAILLES. Il est à remarquer que ce point ignore la Ville de St Quentin, pourtant un pôle économique important. La notoriété de notre agglomération est à promouvoir fortement !
Même si le GRAND PARIS est indépendant de l'OIN du Plateau de Saclay, il en est complémentaire car tous les projets en cours s'imbriquent les uns aux autres.
Cette complémentarité explique que notre démarche continue. Le groupe de réflexion a élaboré un appel commun aux habitants, associations et mouvements locaux pour la sauvegarde du Plateau de Saclay et le refus de la procédure de l'OIN, telle qu'elle est engagée aujourd'hui.
Le texte de cet appel est ici. Soutiens Plateau de Saclay .pdf
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A noter que ce que nous disons pour l'OIN est valable pour le Grand Paris !
Si vous désirez avoir d'autres renseignements ou vous joindre à nous, et signer cet appel, merci de contacter Julien Oechsli :
julien.oechsli@ville-guyancourt.fr ou rubrique « nous contacter » .
L'équipe GGC en charge du dossier
11:07 Publié dans Avenir de notre territoire, Notre boîte à idées, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0)
13 août 2009
Plan Local d'Urbanisme et autres projets !
Notre commune est actuellement concernée par deux enjeux: Plan Local d'Urbanisme et Opération d'Intérêt National, sans compter le Schéma Directeur de la Région Ile de France. Ces projets impactent Guyancourt, s'imbriquent les uns dans les autres : toute décision prise sur le plan local devra être conciliable avec les autres projets, régional et national. C'est donc un dossier qui nous intéresse au plus haut point puisque c'est de notre territoire, celui que nous voulons voir évoluer, dont il est question.
Le PLU, PLan Local d'Urbanisme, concerne notre ville, donc est au plus près de nos préocupations quotidiennes. Le 14 Avril 2009, le Conseil Municipal a voté la transformation du Plan d'Occupation des Sols en Plan Local d'Urbanisme.
Voici ce qu'a écrit Julien à la suite de ce Conseil, occasion d'évoquer les phases de l'élaboration d'un tel projet.
- PLU
Le conseil municipal a voté à l’unanimité la demande de révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation en Plan local d’urbanisme auprès de la Communauté d’Agglomération. Un grand projet de développement qui se conçoit bien au-delà de sa dimension urbaine voit désormais le jour à Guyancourt. L’occasion de rappeler en quelques points les principes élémentaires nécessaires à l’élaboration d’un PLU (merci à Philippe Faucher et ses compétences en urbanisme qui m’ont permis de bien comprendre l’enchaînement des étapes):
Cela commence par une décision du conseil communautaire.
Par délibération le conseil décide de l’élaboration du PLU et des modalités de concertation qu’il va mettre en œuvre. Le travail technique débute alors : il se fait le plus souvent avec un bureau d’étude, en associant les services de l’État, le Conseil Général, le Conseil Régional et autres partenaires institutionnels, et pour un PLU communautaire (ce qui est le cas à Guyancourt), l’ensemble des communes. Ce travail, portant sur la réflexion aux différentes échelles du territoire, doit également consister à recueillir les souhaits en matière d’urbanisation, de protection et de développement de chaque commune , exprimés dans un « projet de territoire » , avant d’élaborer le projet autour du P.A.D.D ( Projet d’Aménagement et de Développement Durable ). Les grandes orientations du P.A.D.D doivent ensuite être présentées pour validation aux élus.
Vient ensuite le temps de la concertation obligatoire.
La Collectivité doit mettre en œuvre les moyens d’information (presse, revue, expositions…) et d’expression des habitants. Les remarques émises dans le cadre de la concertation, après instruction, sont analysées dans le cadre du « Bilan de la Concertation », et participent à l’élaboration du projet. Ce bilan de concertation est présenté au Conseil communautaire avant l’arrêt de projet du PLU, c'est-à-dire le moment où le Conseil estime que le document est prêt.
Une fois le projet de PLU arrêté, il est adressé aux personnes publiques associées afin qu’elles émettent un avis sur le dossier durant un délai de 3 mois. Il s’agit du Conseil Régional, du Conseil Général, les chambres consulaires, les communes limitrophes et établissements publics qui ont demandé à être consultés. Leurs avis seront annexés à l’enquête publique. Le dossier est ensuite mis à l’enquête publique pour un mois minimum. Pendant cette période, le public peut venir voir le PLU arrêté et les avis exprimés auprès de la Mairie, exprimer leurs sentiments par écrit dans un cahier (le registre d’enquête publique) et rencontrer un Commissaire enquêteur. Il s’agit d’une personne désignée par le Tribunal Administratif, qui lors de permanences, reçoit le public pour recueillir ses observations sur le dossier.
Après l’enquête publique, le Commissaire enquêteur étudie les remarques inscrites et émet un avis dans le « rapport d’enquête », qui est remis à la collectivité compétente en matière de PLU (Communauté d’agglomération). Les élus ou les élus communautaires décident alors des éléments à prendre en compte dans le dossier final. Le dossier ainsi modifié est présenté au vote du Conseil pour approbation.
Après les formalités administratives, le PLU est exécutoire et s’applique à toutes les personnes déposant une autorisation de travaux ou un permis de construire. J’insiste sur un point très important à mes yeux. Les modalités de concertations sont définies par la commune. La phase amont, destinée à être le réceptacle des attentes des Guyancourtois sera d’autant plus efficiente qu’elle se fera avec le concours du plus grand nombre. Cela nécessite l’éveil, la pédagogie et l’information par des moyens de communications performants et innovants.
J’attends avec intérêt la mise en œuvre de ce projet car il permettra d’évaluer la capacité et l’envie des habitants de devenir acteur de leur ville au travers d’un chantier fondateur de l’avenir de Guyancourt.
Julien
18:49 Publié dans Avenir de notre territoire | Lien permanent | Commentaires (0)