11 octobre 2010
Le technocentre
Lu dans le quotidien « Le parisien », un article qui peut intéresser les Guyancourtois et nous concerner plus ou moins directement (plutôt plus que moins !). L’arrivée de ces nouveaux collaborateurs est, certes à penser dans le cadre du « Losange » mais aussi dans celui de notre ville et de ses environs
Votre avis ?
4 000 nouveaux salariés au Technocentre
Renault n’en finit pas de faire des économies d’échelle en regroupant le maximum de personnel sur un seul et même site. A Guyancourt, le Technocentre devrait accueillir 15 000 salariés en 2012.
Alors que le Mondial de l’automobile vient d’ouvrir à paris, Renault planche sur un sujet majeur : regrouper en un seul lieu toutes ses forces vives de la région parisienne. Ce projet a été présenté le 22 septembre lors du dernier comité d’entreprise. Le Technocentre Renault doit accueillir 4000 salariés supplémentaires d’ici à fin 2012.
Seul hic : ce site emblématique, qui abrite déjà quelque 10000 collaborateurs de la marque au losange, n’est pas suffisamment grand pour de tels effectifs.
Lire la suite de cet article en cliquant sur ce lien
L’équipe GGC
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/4-000-nouveaux-salar...
22:46 Publié dans Avenir de notre territoire, Développement Durable, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (2)
27 juin 2010
Jardins biologiques à vocation sociale
Exclusion, insertion, solidarité, et développement durable, quel lien entre tous ces termes ? Cela peut-être l’abonnement aux « Jardins de Cocagne ».
De quoi s’agit-il ? Ce sont des jardins biologiques à « vocation sociale et professionnelle ». Ces associations accueillent des hommes et des femmes de tout âge, en situation précaire. Elles les aident à se (re)construire en leur (re)donnant un projet personnel et en (re)créant des liens sociaux. (Photo, site des Jardins de Cocagne)
De quand date cette initiative ? Issu d’un modèle suisse auquel a été ajouté un volet social, le premier jardin de Cocagne démarre en 1991, dans le département du Doubs. En 1991, l'association souhaite diversifier ses activités d'insertion par l'économique et étendre son offre de remise au travail pour publics en difficulté, au moyen de jardins collectifs…. C’est ainsi que démarre le premier Jardin de Cocagne, à l'initiative de Jean-Guy Henkel qui travaillait depuis toujours dans le secteur de la réinsertion et avait créé diverses structures. Cette période était aussi le début de l’agriculture biologique. Ainsi est née l’idée de Jean-Guy Henkel : vendre les légumes à l’extérieur, en bouclant la boucle, c’est-à-dire en trouvant des acheteurs à la fois intéressés par les produits biologiques et par le soutien à des personnes en réinsertion.
En quoi consiste ce projet ? En développant une action sociale, économique, environnementale et en recréant du lien social dans la proximité entre les personnes investies (jardiniers - personnes en contrat d'insertion, maraîchers-encadrants, adhérents, voisins, agriculteurs locaux, partenaires institutionnels, etc.), les Jardins de Cocagne se situent résolument au "cœur de l'économie solidaire et du développement durable".
Source : site des Jardins de Cocagne
Concrètement, ce projet se traduit par la production de légumes biologiques, distribués sous forme de paniers hebdomadaires à des adhérents-consommateurs qui peuvent ainsi consommer des produits frais.
Je vous invite à découvrir ces «Jardins de Cocagne » à la porte de chez vous, puisqu’une telle association existe à Saint-Quentin-en Yvelines, dans la commune de Magny-les-Hameaux.
Vous pourrez d’autant mieux avoir des renseignements que le 30 Juin, dans l’après-midi, le Jardin de Cocagne de Magny-les Hameaux est inauguré. Vous pourrez ainsi visiter la ferme de Buloyer et, pourquoi ne pas vous inscrire pour votre « panier hebdomadaire » ?
Voici le programme tel que vous pourrez le découvrir sur le site du «Réseau de Cocagne »
Renseignement pour St Quentin:
Jardin de Cocagne de Saint-Quentin-en-Yvelines; tel 09 71 51 09 37
Nouveau : Voir l'article posté sur le site de la Communauté d'Agglomération (daté du 9 Juillet) qui explique cette création du "Jardin de Cocagne" à Magny-les-Hameaux. La vidéo jointe illustre cet article
Une AMAP vient aussi de se créer sur Guyancourt. Une « Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne » est un partenariat de solidarité et de proximité entre le monde paysan et un groupe de consommateurs-acteurs, pour une agriculture pérenne, économiquement, socialement et écologiquement.
Source le site des AMAP-IDF
La productrice vient de la région de Pithiviers, « elle est prête à fournir une vingtaine paniers sur Guyancourt ».
Le lieu de distribution est encore actuellement provisoire, mais d’autres informations officielles devraient bientôt nous parvenir.
Une telle initiative était dans notre programme pour les Municipales de 2008 ; je ne peux que me réjouir de cette création et lui souhaiter tout le succès qu’elle mérite, autant pour le monde paysan que pour nous autres, citadins saint Quentinois. Sur notre département encore très rural, ces deux mondes sont solidaires et complémentaires.
Je profite de ce billet pour vous annoncer la date du prochain conseil Municipal : il se tiendra le 5 Juillet à 18 h 30
C’est aussi pour moi l’occasion de vous souhaiter un très bel été, de très bonnes vacances, avec une pensée toute particulière pour celles et ceux, en particulier les enfants, qui ne pourront pas quitter leur lieu de vie habituel.
Julien Oechsli, Conseiller Municipal, soutenu par le Mouvement Démocrate
16:55 Publié dans Avenir de notre territoire, Développement Durable, Notre boîte à idées | Lien permanent | Commentaires (0)
08 juin 2010
OIN, Grand Paris, suite ...
La loi du 3 Juin 2010 relative au GRAND PARIS a été publiée au Journal Officiel du 5 Juin 2010 ; les Décrets d'application devraient suivre.
Les dispositions concernant l'OIN PARIS SACLAY sont énumérées à partir de l'article 25 ( soit, à partir de la page 12).
L'article 35 (page 15) est particulièrement intéressant car il prévoit une zone de protection naturelle , agricole et forestière dans le périmètre de l'OIN au sein des communes figurant dans la liste de l'annexe B ( voir page 17) : GUYANCOURT figure dans cette liste.
Pour l'ensemble de ces communes visées, cette zone devra comprendre au moins 2 300 Hectares de terres consacrées à l'activité agricole.
L'interdiction d'urbaniser dans la zone de protection vaut servitude d'utilité publique ; elle sera annexée aux PLU des communes intéressées.
L'article L 141-7 ( voir page 15) prévoit que l'Etablisssement Public PARIS SACLAY devra élaborer , en concertation avec les communes ou Etablissement public de coopération intercommunale situées dans la zone de protection , un programme d'action qui précise les orientations de gestion destinés à favoriser l'exploitation agricole, la gestion forestière, la préservation et la valorisation des espaces naturels et des paysages.
Seul petit bémol cependant : le même article précise que l'Etablissement public de PARIS SACLAY définit les secteurs indispensables au développement scientifique et technologique. Ces secteurs, certes, ne pourront pas être inclus dans la zone de protection, mais il n'en demeure pas moins que cette zone de protection ne sera délimitée qu'après l'Enquête publique; c'est pourquoi la concertation préalable entre Elus, Population et représentant de l'Etat est vitale.
Nous continuerons à vous informer de la suite de cette « Opération » qu'il faut suivre de près.
Pour lire l'ensemble de la loi du 3 Juin, publiée au JO ce 5 Juin c'est ICI
Pour les lecteurs qui ne pourraient ouvrir ce lien directement :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JOR...=
L'équipe GGC en charge de ce dossier
11:54 Publié dans Avenir de notre territoire, Développement Durable, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : oin, grand paris, guyancourt
31 mai 2010
OIN, suite .. mais pas fin !
Vous savez que je vous tiens informé, autant que cela est possible étant données l'opacité et les contradictions des informations, de l'avancée du dossier OIN-Grand-Paris. Ces deux éléments n'en font finalement plus qu'un puisque géographiquement et juridiquement tout se tient.
Dans son rapport du 26 mai, le Sénat cite les communes incluses dans le périmètre d'intervention de l'Etablissement public Paris-Saclay : on y trouve, pour les Yvelines, toutes les communes de la Communauté d'Agglomération de St Quentin.
Le 7 mai, à l'Université d'Orsay, Pierre Veltz Délégué ministériel à l'OIN, Louis Laurent, chef du Projet à la Fondation de Coopération Scientifique, et Guy Couarraze Président de l'Université Paris-Sud 11, ont animé une réunion d'information destinée à l'ensemble des personnels et étudiants de l'Université sur l'état d'avancement du projet.
Cette plaquette, que l'on peut trouver sur le site « L'université acteur du campus Paris Saclay », puis dans la rubrique « sensibiliser un large public » a l'intérêt de montrer le périmètre de l'Etablissement Public Paris Saclay dans lequel est incluse l'OIN : voir en particulier les cartes comprises entre les pages 7 à 11 dont celle qui montre le quartier de la Minière particulièrement impacté par ce projet, opposable à tout projet communal , dont le Plan Local d'Urbanisme !
Début Avril, des associations ont refusé de participer à un groupe de travail initié par la mission de préfiguration de l'Etablissement Public de Paris-Saclay, jugeant la concertation faussée dès le départ, puisqu'elle ne répondait pas aux critères de ce que l'on est en droit d'attendre d'une démarche concertée.
En effet, aucune de leurs demandes fortes, énoncées depuis le début à chaque réunion, n'a été prise en compte, ce qui semble confirmer que les vrais enjeux et la concertation sont esquivés
Ce mois d'Avril voit le dossier OIN-Grand Paris revenir en débat au Sénat. Ce dernier a voté un amendement sur le financement des infrastructures ferroviaires du Grand Paris : indirectement cela nous concerne aussi en tant que Saint-Quentinois et donc Guyancourtois.
Le débat public sur le plateau de Saclay n'aura pas lieu,puisqu'en "procédure accélérée" mais devient celui sur le projet de "métro automatique" du Grand Paris, le "Grand Huit".
En quoi cela nous concerne-t-il ?
Ce projet de Christian Blanc, donc de l'Etat, laisse l'agglomération de St Quentin en dehors du circuit (voir la carte page 20). En effet, ce « métro » est conçu pour relier huit pôles économiques (La Défense, Saclay, Orly..) avec des contrats d'aménagements autour des futures gares. Il privilégie donc les déplacements travail-travail, (estimés à seulement 3% des mouvements franciliens et surtout le fait des hommes d'affaires), mais ne tient pas compte des zones où se concentre la population. Le député UMP Etienne Pinte a déposé un amendement sur la nécessité de prendre en compte la question du logement - "où habitent les gens par rapport à leur lieu de travail?" - mais Christian Blanc l'a écarté !
Si St Quentin est exclu du circuit, notre agglomération risque d'être en dehors des axes de transport qui structurent tout dynamisme économique, ce qui risquerait d'entraîner, à long terme (est-ce si loin ?) le départ des entreprises. Peut-on accepter que notre agglomération devienne une ville dortoir qui perdrait toute attractivité économique et donc indirectement des recettes permettant le maintien des services ?
Les transports sont d'abord là, me semble-t-il, pour répondre aux besoins des habitants et non pour justifier une urbanisation excessive. Il y aurait donc déjà tout intérêt à améliorer l'existant, ce qui aurait l'avantage de coûter moins cher et d'être plus rapide à réaliser ! C'est le projet « Arc Express » de la région, une rocade en proche couronne prévoyant des gares situées à environ 1 à 1,5 km les unes des autres et reliées aux lignes de transports existantes. Un projet moins cher et plus vite réalisable que le projet du Grand Huit » qui aura bien des difficultés à être financé !
Le gouvernement a adopté un amendement visant à créer une nouvelle taxe de 15% sur les plus-values immobilières pour financer le projet. Cela ne concerne que les infrastructures ferroviaires du Grand Paris, mais le projet de l'OIN étant rattaché à ce projet de loi, on peut penser qu'un même type de financement peut-être imaginé pour l'OIN ! Ce qui aurait une nouvelle fois pour conséquence de freiner inévitablement les investisseurs immobiliers.
Le dossier OIN-Grand Paris est d'autant plus d'actualité pour nous à Guyancourt, que se poursuit l'élaboration du Plan Local d'Urbanisme avec sa nouvelle phase, le Plan d'Aménagement et de Développement Durable, le PADD qui, » dessinera l'avenir de Guyancourt » (page 3 du Guyancourt Magazine n° 393)
Julien Oechsli, conseiller municipal, liste Guyancourt-Générations-Citoyennes
Les passages en italique sont extraits de l'article publié dans les Tribunes d'expression du Guyancourt Magazine n° 393; la photo incluse est celle de l'étang de la Minière (site de la mairie de Guyancourt)
Dernière info: le projet de loi du Grand Paris a été définitivement adopté par le Sénat le 27 mai. La phase du débat public et de la concertation commencera en Septembre 2010
00:08 Publié dans Avenir de notre territoire, Développement Durable, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : guyancourt, oin, grand paris
27 mai 2010
Réunion publique : Plan Local d'Urbanisme
Le Plan Local d'Urbanisme pour Guyancourt
La deuxième phase du PLU commence au mois de juin 2010 et porte désormais sur le PADD (Projet d'Aménagement et de Développement Durable), c'est-à-dire sur les grandes orientations d'urbanisme et d'aménagement. À partir des résultats de la première phase de concertation, les élus et les techniciens ont défini un certain nombre d'objectifs qui vous seront soumis le 1er juin, à l'occasion d'une nouvelle réunion publique. ( extrait du site de la mairie de Guyancourt)
Vous pouvez aussi participer à l'élaboration du PLU de votre ville !
Réunion publique
Mardi 1er juin 2010 à 20 h
Hôtel de Ville
Voir les renseignements et le document à télécharger pour préparer cette réunion sur le site de la mairie de Guyancourt
10:09 Publié dans Avenir de notre territoire, Développement Durable, Vivre à Guyancourt | Lien permanent | Commentaires (0)